Ca-y-est, de retour à la fac... Après une longue attente d'un mois, merci les blocages universitaires, l'Université de Provence (Aix) m'a enfin communiqué mes cours. Car non vous ne rêvez pas, je
suis inscrite en première année de licence de... lettres modernes :-)
Maintenant va falloir s'y remettre, c'est tout un rythme à prendre ! Même si les cours s'annoncent pour la plupart passionnants, le volume n'est pas particulièrement négligeable et je doute d'avoir toujours le temps pour des lectures récréatives. Non seulement les études sont loin (2005-2006 en laboratoire et en stage, derniers "cours" en 2004-2005 à la fac de Milan et je passais mon temps à les sécher, autant dire que la dernière fois que j'ai mis les pieds dans un amphi avec l'intention d'apprendre quelquechose c'était en juin 2004) mais en plus je me suis écartée de la filière littéraire dès la première. Autant dire que niveau technique et culture littéraires je suis complètement aux fraises. Enfin, c'est aussi un peu pour ça que je m'inscris, je vois pas l'intérêt d'étudier un sujet que j'aurais déjà étudier... j'me comprends ;-)
Donc autant dire que je vais avoir besoin de soutien psychologique dans les mois qui vont suivre! Le plus important pour moi n'est pas l'obtention du diplôme, car d'un point de vue professionel il ne m'apporterait rien, et me rajouter une pression supplémentaire n'est pas la méthode la plus appropriée pour m'encourager et pour me faire réussir. Ce que je souhaite, c'est surtout de rester motivée jusqu'à la fin... ne pas écarter les cours de mon bureau avant la fin de cette année avant de les avoir parcourus, peut-être pas tous, mais une bonne partie en tout cas. Apprendre, découvrir, me cultiver.
Prendre du plaisir à lever ce double interdit bizarre : un profil technique qui étudie la littérature, un travailleur en CDI qui se remet à étudier pour le simple plaisir. Ecarter cette frustration qui me reste du moment où il m'a fallu choisir entre les études scientifiques et les études littéraires; d'ailleurs je ne comprends toujours pas cette opposition systématique dont on nous rebat les oreilles durant notre scolarité. Il y a beaucoup de défi dans ma démarche, qui ressemble quelque part à une crise d'ado à retardement...
Je suis comme devant un miroir couvert de buée, sur lequel j'aurais commencé par dessiner un gros point d'interrogation. Maintenant que la fenêtre est ouverte, la buée va disparaître, et qu'est-ce que je vais voir dans le reflet ?
Maintenant va falloir s'y remettre, c'est tout un rythme à prendre ! Même si les cours s'annoncent pour la plupart passionnants, le volume n'est pas particulièrement négligeable et je doute d'avoir toujours le temps pour des lectures récréatives. Non seulement les études sont loin (2005-2006 en laboratoire et en stage, derniers "cours" en 2004-2005 à la fac de Milan et je passais mon temps à les sécher, autant dire que la dernière fois que j'ai mis les pieds dans un amphi avec l'intention d'apprendre quelquechose c'était en juin 2004) mais en plus je me suis écartée de la filière littéraire dès la première. Autant dire que niveau technique et culture littéraires je suis complètement aux fraises. Enfin, c'est aussi un peu pour ça que je m'inscris, je vois pas l'intérêt d'étudier un sujet que j'aurais déjà étudier... j'me comprends ;-)
Donc autant dire que je vais avoir besoin de soutien psychologique dans les mois qui vont suivre! Le plus important pour moi n'est pas l'obtention du diplôme, car d'un point de vue professionel il ne m'apporterait rien, et me rajouter une pression supplémentaire n'est pas la méthode la plus appropriée pour m'encourager et pour me faire réussir. Ce que je souhaite, c'est surtout de rester motivée jusqu'à la fin... ne pas écarter les cours de mon bureau avant la fin de cette année avant de les avoir parcourus, peut-être pas tous, mais une bonne partie en tout cas. Apprendre, découvrir, me cultiver.
Prendre du plaisir à lever ce double interdit bizarre : un profil technique qui étudie la littérature, un travailleur en CDI qui se remet à étudier pour le simple plaisir. Ecarter cette frustration qui me reste du moment où il m'a fallu choisir entre les études scientifiques et les études littéraires; d'ailleurs je ne comprends toujours pas cette opposition systématique dont on nous rebat les oreilles durant notre scolarité. Il y a beaucoup de défi dans ma démarche, qui ressemble quelque part à une crise d'ado à retardement...
Je suis comme devant un miroir couvert de buée, sur lequel j'aurais commencé par dessiner un gros point d'interrogation. Maintenant que la fenêtre est ouverte, la buée va disparaître, et qu'est-ce que je vais voir dans le reflet ?